J’avais
envie de vous exprimez mes émotions. Chaque mot écrit est réfléchi.
En lien avec
Laurie, Non.
En lien avec
mon corps et mon esprit, oui.
Colère,
peine, incompréhension, solitude, malhonnêteté, indignation, hostilité… ne sont
que quelques uns de mes sentiments indigérés depuis la fin de ce long calendrier.
On m’a prise mon âme, on a brisé mon cœur… on a volé ma confiance. Je me sens
trahie par la raison. Abuser de grandes espérances se termine par une impasse.
L’introspection
fait mal à l’autrui. Il empoissonne son espace temps.
Le
positivisme peut parfois dénaturer. Il infecte ses altères égos. Il détruit,
rase sur son passage. Après quoi, il s’enterre par la virulence.
Maladif ce positivisme…
365 nouveaux
jours sont à venir. Pénibles et ardus.
Après, comment trouver la force. Les amis, la
famille… Laurie. Et bien d’autres jours…
Les sourires
seront rudes. Le courant fera couler de l’eau sous les ponts. J’ai
compris aussi qu’après chaque hiver, vient le printemps… De l’égoïste
sensible est à venir… pour Laurie, pour moi, pour nous deux.
En second
regard, on m’avait emprisonné dans une maison de verre… Maintenant, j’ai brisé
les limites de l’impossible afin d’admirer le soleil, bien en face.
Je fantasme de me larguer sur une plage inaccessible. Une île perdue. Un jour, soyez-en assuré… j’y brillerai. Mais selon l'homme, pas maintenant...
Dans une prochaine vie.
Je fantasme de me larguer sur une plage inaccessible. Une île perdue. Un jour, soyez-en assuré… j’y brillerai. Mais selon l'homme, pas maintenant...
Dans une prochaine vie.
Je ne veux plus combler un vide. Je désire exister. Être.
Bonne et joyeuse année
à vous tous mes chers lecteurs.