Les matins
sont convaincus.
Les journées
sont interminables.
Les nuits
sont tourmentées.
Les larmes
sont sèches, le corps étrenné.
L’innocence m’a
ruiné,
L’âme,
Le cœur,
La tête.
L’altruisme lui
est sans égal, la vanité est empreinte de son inconscience. À quoi bon.
Avec
discernement, je me suis berné depuis toutes ces années. Une solitude non
avouée.
Ma tolérance
a dépassé la limite du ridicule.
Réfléchir au
passé ne convoie que de perte.
Penser au
futur me noie.
Un jour, le jour. Laurie.
Pour l’instant… je suis exténuée.
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