Les apparences sont trompeuses. Le sujet que je vais aborder est possiblement tabou. Après maintes recherche, je n'ai trouvé que peu d'information. Peu importe.
Le couple peut-il survivre a une t-elle épreuve. Surmonter et traverser ce frein de vie.
Être deux, ne signifie pas comprendre et figurer de la même façon. La peine, la tristesse, le deuil d'apprivoiser cette différence, incite un comportement de divergence. Le stress du futur. L'incompréhension de la raison. La pression des regards. La force du mental.
Une métaphore s'improvise.
"La coque du bateau possédait une légère fissure. Pas très grosse, mais juste assez espacée pour que l'eau s'introduise. Le temps passe. Un silencieux chavirement. Concrètement, la brèche ne s'est pas agrandie, mais l'eau continue à monter. Sans conscience, nous sommes trempé jusqu'à la taille. Les pas sont sensiblement plus difficile puisque la pression de l'eau est grande. Mais, rien n'empêche les déplacements.
Récemment, une algue est venue s'accrocher tout juste par-dessus la fissure. Celle qui rassure, celle qui empêche le débordement. Aura-t-on le temps de vider le bateau? Juste assez de temps pour fermer l'ouverture?
Peu importe, le pont est mouillé. Avec le temps, un peu de boue s'est accumulée. Même si le soleil plombe et que le temps est favorable, il y a beaucoup de travail à faire. Si les choses vont bien, nous serons arrivé au port à temps. Rebâtir une coque ne se fait pas en une seule journée. Il faut de la patience, de la volonté. Chacun doit y mettre du sien. Communiquer, s'assurer que nous manquons de rien, et que le tout sera solide. Mieux bâtir, pour naviguer. Apprécier les eaux calmes et être prêt pour affronter les tempêtes."
J'y crois, je suis certaine que nous y arriverons. Parce que ensemble, nous sommes plus fort.
Beautiful!
RépondreSupprimerThanks Silvina. I'm touched that you read me in French. Google Translate Rock! :)
SupprimerLa vie n'est pas un long fleuve tranquille, je dirais plutôt que c'est comme une longue rivière qui coule doucement puis soudain arrivent des rapides puis, tout deux nous sommes propulsés comme de vieilles guenilles.Tant bien que mal nous tentons chacun a notre façon de nous agrippés quelque part,à une branche ou une grosse roche, ce qui fera que la descente ne soit moins forte et violente, il se peut aussi que nous n'y arrivions pas en même temps car nous ne pouvons nous protèger de la même façon. Mais peu importe, nous arriverons à la partie de la rivière qui coule tout doucement.Nous étions deux là bas avant ces remous et ces rapides, et nous y
RépondreSupprimersomme arrivés un peu écorchés mais, nous y sommes maintenant trois.
Votre blog est très touchant.
RépondreSupprimerLes photos de Laurie sont superbes. J'aime beaucoup celle qui se trouve sur la droite du blog, celle où elle a un bonnet en laine écru, j'adore !
A bientôt peut-être, et bonne continuation à vous,
x