J'y suis resté vexé. Très.
Sans rien enlever à tout ce que mon père a pu m'offrir… j'ai réalisé bien des choses.
La frigidité du malaise. Le malaise d'être mal aimé.
Puisque sans être aimé, on ne peut s'épanouir.
Depuis, j'éprouve une certaine complicité envoutée avec Laurie.
L'épanouissement vient, peu à peu.
Sous ce clin d'oeil de connivence, comment pourrais-je "aimé moins" ou simplement "pas expressivement".
La différence n'est pas en cause.
La différence n'est pas en cause.
salut marie, vivre avec un enfant différent est parfois difficile mais a la fois si enrichissant j'ai une fille de 4 ans avec un syndrome de william et je comprend ta vie. Je suis sure que tu es une excellente mere.
RépondreSupprimerCharles Toupin (Brodway)